Le végé phase 3 : le vegan

En général, le végétalien ne se contente pas d’être sensible à la cause animale dans ce qu’il mange mais dans l’ensemble de sa consommation et de ses actions. Aussi, devient-il souvent vegan.

Le vegan est donc végétalien, mais EN PLUS, il n’utilise pas tout ce qui provient des animaux. C’est-à-dire : pas de fourrure (of course !), de cuir, de laine, de soie, de poils (il peut toujours faire collection des siens si ça lui fait plaisir, mais bon).

Il ne va pas non plus utiliser de produits testés sur les animaux (cosmétiques, médicaments, produits ménagers) et va refuser dans l’ensemble toute exploitation des animaux (cirques, zoos, chiens de travail, etc.).

Le vegan estime qu’en tant qu’êtres vivants et sensibles, les animaux sont nos égaux et non nos esclaves et que nous n’avons donc aucun droit de les dominer d’une quelconque manière.

Waaah ! Là, ça t’en bouche un coin !

Vu de la fenêtre d’un Homo Sapiens Télé-Erectus, le vegan a plutôt l’air d’un être surnaturel, vivant tout nu dans la forêt d’Utopie :

 

Homme nu dans les bois

Un peu trop bien gaulé pour être vegan celui-là, c’est louche…

 

Mais non, le vegan se mélange à la population, et sa perfidie n’a d’égal que son radicalisme. Anti-spéciste, il prône avec ferveur l’empathie et le respect de tout être vivant et sensible. Brrrr, ça fait froid dans le dos de se dire qu’ils sont parmi nous…

Pour attirer le mécréant vers la secte veganiste, le film documentaire “Terriens” (version française de “Earthlings”) est une excellente entrée en matière :

 

 

Mais alors toi, Jessica, c’est quoi ton mode de vie ?

 

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